Publi-rédactionnel – Olivier Despierres : « le New Forest en France a le droit d’être français »
Olivier Despierres a commencé à adhérer auprès de l’Association Française du Poney New Forest au milieu des années 80, avant d’y prendre la présidence de 1994 à 2007. Gérant d’une exploitation agricole, à la tête d’un élevage de volailles (hors sol) et de moutons, il a aussi été l’instigateur de l’élevage de poneys New Forest « de l’Ocq » d’où est notamment sorti Lapsus, classé 8e en individuel des championnats d’Europe de concours Complet en 2009. Appelé par l’AFPNF pour juger le National organisé au Sologn’Pony – dont il fut l’un des initiateurs il y a 20 ans – il nous livre son analyse sur les poneys présentés, son sentiment sur l’évolution et l’avenir de la race.
Après plusieurs années d’absence sur les terrains de modèle et allures, vous avez fait partie du jury du National de la race. Pourquoi ce retour sur les rings d’élevage et comment l’avez-vous vécu ?
Patricia Cerina m’a sollicité pour ce National et avait fait préalablement appel à moi pour juger les candidats étalons en vidéo car nous n’avions pas pu procéder aux rassemblements initialement prévus. J’ai été très heureux de mettre ma petite expérience au service de la race après des années d’absence. Néanmoins, dans mon esprit, il faut laisser la place aux jeunes. Il est je pense préférable d’appeler « les anciens » à l’occasion et de créer les conditions d’un renouveau, aussi bien pour l’association que pour la race. L’AFPNF doit former ses propres juges et notre présidente est tout à fait d’accord avec cela. Il y a cette volonté et l’association est en train de renaitre sur une base de volontariat. Tout cela est sur de bons rails. Je souhaite vraiment le meilleure pour la race, l’association et les éleveurs.
Vous qui présentiez vos premiers poneys sur les concours d’élevage au milieu des années 80, vous avez dû voir à Lamotte-Beuvron bon nombre de nouveaux éleveurs ?
Oui, j’ai vu avant tout beaucoup d’éleveurs que je ne connaissais pas ! Certains ont même parfois été surpris des résultats de leur propre élevage, dans le bon sens du terme, en particulier Mathilde Doutressoulles, propriétaire de la championne Suprême Idyll Ron des Etoiles. Quand je revois le sourire de cette éleveuse, cela me faisait très plaisir. Il y avait aussi des fidèles parmi les fidèles. Je ne peux pas m’empêcher de citer Bernard Vaucher (élevage Pearl). Nous avons tous les deux amené nos poneys au concours de race de Saint-James en Normandie, en 1989. Il me semble qu’il présentait South Pearl à ce moment-là… et moi une jument de mon élevage que j’avais achetée à Jean Mellet (élevage des Rouets), ancien secrétaire de l’AFPNF, qui la détenait lui-même de Jean-Pierre Berthélemy du Bucq (élevage du Galion). Il s’agissait de Star du Galion. Cela remonte… Il y avait aussi parmi les fidèles Nathalie Gravier dont l’élevage du Poët, tenu presque à l’anglaise, c’est-à-dire avec des poneys élevés en liberté, est bien connu. A part ces deux personnes, tous les autres étaient des nouveaux à mes yeux. Je retiens également l’élevage du Braou de Madame Daugey, situé dans Landes, chez qui l’on a approuvé en avril un étalon. Quand j’ai vu notamment le Réserve champion du National (Helios du Braou), j’ai été impressionné. Madame Daugey est l’une des premières éleveuses françaises de la race, elle a démarré avec Jean Mellet, même un peu avant Monsieur Berthélemy du Bucq, ce sont les pionniers… Il y a toute une belle histoire à travers la race du poney New Forest…
Quelle est votre analyse globale du National de cette année ?
J’ai été agréablement surpris par l’excellence de l’organisation, mais cela je n’en doutais pas venant du Sologn’Pony, par la bonne ambiance et la présentation des poneys. En résumé, je dirais que c’était un National « reflet » de la race, c’est-à-dire qu’il est petit par le nombre (41 poneys), mais grand par ses qualités. Compte tenu des conditions sanitaires imposées et de tout ce que les éleveurs avaient vécus depuis le printemps, ils ont répondu présents ; or, ce n’était pas gagné d’avance ! Dans l’ensemble, les poneys présentés étaient de qualité et j’ai notamment relevé un très bon lot de poulinières suitées et de sujets de 2 ans. J’ai aussi été frappé par la maitrise des poulains : ils étaient très bien éduqués. Cela faisait plusieurs années que je n’avais pas assisté au National et j’ai retrouvé la bonne humeur d’antan… Je ne retiens que du positif.
Avez-vous trouvé qu’une bonne partie des gagnants étaient dotée d’un modèle sport ?
Oui effectivement et je crois qu’il faut s’y tenir. Ce n’est pas parce que le New Forest a un modèle sport qu’il est léger. Le caractère de ce poney lui permet de faire plein de choses. Il a été utilisé comme chacun le sait pour la « fabrication » du Poney Français de Selle ; mais ce n’est pas pour cela qu’il faut laisser tomber la race. Si l’on conserve une jumenterie solide, c’est à dire de vraies mères avec des hanches larges, une bonne croupe, de la charpente, il n’y a pas de raison de ne pas pouvoir mettre n’importe quel type d’étalon pourvu qu’ils ramènent des allures et de l’amplitude. Marier de façon justifiée en somme. Pour la production, j’ai toujours pensé que le meilleur poney était celui qui se vendait : s’adapter au marché français est important. Le sport y est prédominant.
Le retour du National au Sologn’Pony, cela vous fait plaisir ?
Bien sûr ! J’ai toujours pensé qu’il fallait un lieu central avec des structures et le Parc Fédéral de Lamotte-Beuvron s’y prête. Il ne fallait pas passer à côté à l’époque. Je suis conscient qu’il y a un coût pour les éleveurs, mais se retrouver au milieu d’épreuves où il y a des utilisateurs et donc potentiellement des acheteurs, est important. Cet événement est une grande famille, c’est le rassemblement de plusieurs races. Une année, je me rappelle qu’il y avait eu sept races représentées ! C’est la vitrine de l’élevage. J’étais content de revoir le National New Forest ici. D’un point de vue régional, je pense qu’il est bon de privilégier des rassemblements là où il y a une quantité représentative de la race. C’était très apprécié à l’époque car nous étions proches des éleveurs. Je pense qu’il faut retourner à cela aussi.
Comment percevez-vous l’évolution de la race du poney New Forest ?
Nous avons eu recours aux poneys étrangers pour améliorer les allures, le Stud-Book Néerlandais du poney New Forest a d’ailleurs fait beaucoup de bien, la jumenterie britannique aussi. Il y a de très bons sujets que l’on a importés, de très bonnes souches qui ont fait la base du poney New Forest en France, mais nous sommes aussi capables d’en produire des bons. Je vais reprendre ce que j’ai dit au National : le New Forest, en France, a le droit d’être français. Ce qui se vend en France n’est pas forcement ce qui se vend en Grande Bretagne. En d’autres termes, ce qui se fait là-bas ne correspond pas forcement au marché français. Le nôtre est plutôt tourné vers le sport. Au National par exemple, il y a depuis 2 ans une présentation à l’anglaise. Tous les poneys sont présentés en rond et un juge avec un peu d’expérience s’aperçoit rapidement des meilleurs sujets. Nous avons en France une culture du jugement individuel, nous observons les animaux un par un. Je suis pour le fait de les voir à l’anglaise, puis d’examiner leur morphologie individuellement. C’est indispensable et je trouve que l’AFPNF a su admirablement bien inspirer cette chose là et la gérer.
Un autre point, aujourd’hui, l’AFPNF est confrontée à un très gros problème : le manque d’étalons sur le territoire français. L’insémination artificielle coûte cher, les contraintes sanitaires pour les éleveurs aussi, il faut donc en agréer un maximum. Je suis entièrement d’accord avec ce choix de l’AFPNF. Pourquoi refuser trop d’étalons lorsqu’on en manque ? Si l’étalon a un bon caractère, est dans le standard, c’est-à-dire sans problème de morphologie et est situé à un endroit géographique où il n’y a pas d’étalon New Forest, il n’y a pas de raison de ne pas l’approuver. Après ce sont les éleveurs qui feront le tri. Si l’étalon ne convient pas, ils ne l’utiliseront pas.
Enfin, pour qu’il y ait une race, il faut des éleveurs. Comme le ministère donne des agréments aux associations de race pour qu’elles s’occupent de la sélection, il faut des adhérents. On doit donner envie aux éleveurs d’adhérer et je trouve que l’association repart sur de bonnes bases. Il y a aujourd’hui beaucoup moins de petits éleveurs de poneys New Forest car les coûts de production sont plus élevés, les contraintes sanitaires réglementaires et administratives sont difficilement supportables. C’est un frein, mais il y a de quoi garder un noyau d’éleveurs de poneys New Forest qui sert d’élite et de vitrine pour la production future ; celui-ci incitera d’éventuels nouveaux éleveurs. On peut travailler…
Pourquoi selon-vous conserver la race pure ? Qu’admirez-vous d’ailleurs le plus chez le poney New Forest ?
C’est de la diversité et de la concurrence que naît la qualité. Il y a de la concurrence via d’autres races sportives comme le Connemara et le Welsh. Il faut cultiver les qualités intrinsèquement liées aux races. Pour le New Forest, c’est le caractère d’une douceur exceptionnelle qui permet d’avoir une polyvalence, même si je n’aime pas ce terme là – du moins une diversité dans les activités. Je me rappelle encore ce que m’avait dit Dominique Jussiaux du Haras des Cours (dont les enfants ont monté en Grand Prix de CSO l’étalon européen Silverlea Simply Red) : « pourquoi ma femme veut élever des poneys New Forest ? Car si on ne fait pas de sport avec, on est sûr de les vendre pour le loisir ». Ce qui n’est pas le cas de tous les autres poneys. Le New Forest peut aussi bien faire de l’attelage, du loisir, du sport jusqu’au haut niveau. C’est un poney qui est capable d’avoir les meilleurs résultats dans les plus belles compétitions et de rivaliser avec les autres.
Vous qui avez ce recul, comment expliquez-vous cette baisse des naissances qui s’est profilée au fil du temps ? Pour être plus précis, le Stud-Book recensait à la fin des années 70 près de 400 naissances par an (soit le plus grand nombre de naissances de poneys en race pure !), contre environ 150 de la fin des années 90 au milieu des années 2000, à 45 en 2017, 54 en 2018…
Je crois qu’il faut voir la corrélation avec l’augmentation des naissances des Poneys Français de Selle. Une bonne partie de la jumenterie New Forest a été utilisée en croisement. On a d’ailleurs attribué des subventions à l’AFPNF pour sa contribution à l’expansion de la race du Poney Français de Selle. C’était reconnaitre avant tout que les qualités du poney New Forest pouvaient servir à la création de cette race. A l’époque, Jean Lassoux était le président de l’ANPFS, c’est aussi avec lui et Madame de Sainte Marie que l’on a fondé le Sologn’Pony. Il était aussi un éleveur de poneys New Forest à la base. D’autre part, nous n’avons sans doute pas su nous adapter à l’évolution du marché, nous avons continué à organiser nos petits concours de race et nos Nationaux avec des concours que je nomme « bout de longe ». Nous avons pris un virage dans les années 90, puis les poneys ont été présenté montés à 3 ans, avec une optique sport. Cela a fonctionné, mais les naissances n’ont tenu qu’avec l’aide à l’insémination artificielle, car il n’y avait pas suffisamment d’étalons sur le territoire. Grâce à l’insémination artificielle et aux primes que l’on a pu donner aux éleveurs, nous avons essayé de maintenir le nombre de naissances. Jusqu’en 2005/2010, les chiffres étaient à peu près stables, mais ils ont encore chuté par la suite. Si je suis désormais optimiste, j’ai tout de même eu du mal à encaisser l’évolution de notre race que je qualifierai de négative. Il faut savoir faire appel à des compétences sûres dans tous les domaines ; être dans une association c’est travailler pour les autres. Peut-être n’avons-nous nous pas pris les bons virages, mais je ne veux surtout pas jeter la pierre. Je suis conscient que les choses ont beaucoup évolué et que rien n’est évident. A mon époque, il y avait une équipe très sympa et des rapports très conviviaux avec les autorités (haras et ministère) ainsi qu’avec les autres races. J’ai bénéficié de tout cela. Nous n’arriverons jamais à atteindre le niveau de naissances des années 80, mais je crois qu’il est important de garder une souche de race pure, une élite, sur laquelle on puisse baser la sélection future. Le programme d’élevage est aujourd’hui mis en place, il porte toutes les garanties d’un avenir pour la race, limité certes, mais de qualité. Les bases de ce programme ont été jetées il y a 15 ans du temps d’Emmanuelle Bour (alors directrice du Haras de Compiègne) : le poney New Forest était pionnier à l’époque, mais nous n’en avons jamais plus entendu parler. Certains aspects et critères ont été réactualisés pour tenir compte du standard, sans oublier le coté sport, la notion de caractère et la multitude d’aptitudes qui est liée à l’utilisation de ce poney.
On ne peut pas passer sous silence votre élevage, votre affixe « de L’Ocq ». Pouvez-vous nous en dire quelques mots à travers des dates, des éleveurs et poneys marquants ?
C’est un élevage très modeste… J’ai commencé en 1983 et ai arrêté en 2013. Je cherchais un poney de concours pour mon fils. Il montait dans un club en Picardie et commençait les concours. Je me suis mis à la recherche d’un poney et je suis tombé par hasard chez un éleveur de l’Aisne qui vendait un étalon et trois juments New Forest. Comme j’étais moi-même éleveur, je me suis dit pourquoi pas ! C’est l’année où le poney New Forest Jéricho de Tyv avait été champion de France au Touquet, l’un des gros concours organisés par le Poney-Club de France à l’époque. L’étalon que l’on me proposait était l’un de ses demi-frères par le père : Joker de Tyv. Parmi les trois juments, l’une provenait de l’élevage britannique Ashurst et l’autre de l’élevage de Tyv de Jean Lassoux. Mon fils a commencé à sortir en compétition avec Joker de Tyv, je me suis pris au jeu et ai commencé à présenter mes poneys en concours d’élevage. J’ai acheté des juments issues de l’élevage de Jean-Pierre Berthélemy du Bucq, président de l’AFPNF à l’époque, Oca du Galion et Star du Galion, ainsi que l’étalon Vent du Galion. J’ai acquis ensuite quelques produits importés par Jean-Marc Lefèvre (gérant du Syndicat Linaro), qui était en rapport avec la maison Britannique Stainer (l’élevage Silverlea), d’où l’arrivée de Silverlea Dollarina. Et c’est parti… A l’époque, j’avais 7 juments, soit 5 à 7 naissances par an. L’étalon Willoway Good As Gold est ensuite arrivé. Il vit d’ailleurs chez une amie dans l’Aisne. A 31 ans, il est encore en pleine forme ! Je l’ai gardé quelques années puis les Haras Nationaux ont voulu me l’acheter : je l’ai laissé partir avec regret, mais c’est une opportunité dans la vie d’un éleveur. Il a travaillé dans beaucoup de stations et a eu chez moi des produits qui ont tourné en Cycles Classiques, en attelage, ainsi qu’un petit champion : Lapsus de l’Ocq. Sa mère est Tamour des Etangs, achetée par l’intermédiaire de Jean-Marc Lefèvre chez Madame de Bonnafos. Lapsus s’est classé en concours Complet jusqu’aux championnats d’Europe.
Origines des poneys cités, dans l’ordre du texte Idyll Ron des Etoiles (par Anydale Ron SL et Merrie du Bust par Willoway Good As Gold), née en 2018, championne Suprême du National New Forest en 2020, propriété de son éleveuse Mathilde Doutressoulles. South Pearl (par Lancero du Galion et Priory Pink Pearl par Hillfiel Blue Peter). Cette poulinière née en 1984 est à l’origine de l’élevage Pearl de Bernard Vaucher et est notamment la mère de l’étalon Halto Pearl (IPO 136), Prim’Pearl (IPO 142), Quelly Pearl (IPO 128) et Reality Pearl (IPO 161). Silverlea Simply Red (étalon, par Silverlea Flash Harry et Brickfield Victoria par Wychwood Tornado), né en 1994 au sein de l’élevage britannique de la famille Stainer. Il fut avec Camille Jussiaux gagnant en Grand Prix de CSO (IPO 166, ISO 125) et a représenté l’équipe de France aux championnats d’Europe de 2007 avec Thomas Jussiaux. Jéricho de Tyv (par Merrie Musket et Curieuse par Luckington Leader), né en 1975 chez Jean Lassoux. Il fut triple champion de France de Dressage en D1 (IDR 115/90). Plusieurs de ses frères utérins sont étalons et parmi ses sœurs utérines, nous trouvons Romance de Tyv, classée jusqu’en Grand Prix de CSIP et bon nombre de poulinières à la production honorable. Joker de Tyv (par Merrie Musket et Quinette par Spadassin), né en 1975, a été le premier poney de compétition du fils d’Olivier Despierres et le premier étalon de l’élevage de l’Ocq. Oca du Galion (par Furzey Lodge Snowboots et Silverlea Starliner par Burton Starlight) et Vent du Galion (par Lavender Stardust of Woot et Kiss du Galion par Knightwood Pepperbox), poulinière et étalon de l’élevage de l’Ocq nés eux aussi chez Jean-Pierre Berthélemy du Bucq, respectivement en 1980 et 1987. Ce dernier est également le naisseur de l’excellent étalon Fudge du Galion (Merrie Musket x Burton Starlight), un remarquable sauteur, connu entre autres pour être le père de mère de la double championne de France de Grand Prix Elite de CSO Vicky. Avant son arrivée à l’élevage de l’Ocq, Oca avait notamment produit le poney de Grand Prix de CSO Usque Agricola (IPO 149, ISO 131). Silverlea Dollarina (par Silverlea Flash Harry et Silverlea Dolly Bay par Silverlea Michaelmas), née en 1990 en Grande-Bretagne chez J.M. Stainer. Sa mère, Silverlea Dolly Bay, est à l’origine des poneys de Grand Prix / D1 Elite Silverlea Skye (IPO 138) et Silverlea Miss Tina (IPO 142, mère de Picasso de l’Arbalou, IPO 132, IPC 129). Willoway Good As Gold (étalon, par Willoway Piper’s Gold et Willoway Piper’s Pride par Peveril Peter Piper) né en Grande-Bretagne en 1989 chez M. C. Large. Propriété d’Olivier Despierres, il fut ensuite vendu aux Haras Nationaux. Il est le père de 200 produits dont Nymphea de la Pierre (IPO 155) et les étalons Lapsus de l’Ocq (ci-dessous), Little Boy du Vent (IPD 134), Illoway Cheriton Fast (IPO 162), Haladin du Fay (IPO 139) et Glen de l’Aumont (IPO 153, ISO 135). Lapsus de l’Ocq (étalon, par Willoway Good As Gold et Tamour des Etangs par Jolly des Ifs), né en 1999 chez Olivier Despierres. Il s’est classé 8e en individuel des championnats d’Europe de CCE en 2009 à Moorsele (Belgique), 4e du CCIP de Bologne (Italie) et a notamment remporté les Grands Prix nationaux de Châteaubriant et Beaumont-Pied-de-Bœuf (IPC 160) sous la selle d’Eurydice Schauly. Tamour des Etangs (par Jolly des Ifs et Cameron Fillette of Peove par David Gray), née en 1985 chez Hélène de Bonnafos. Elle a aussi produit l’étalon Rob Roy du Garon (IPO 146). Il s’agit de la souche de Cameron Fillette Of Peove connue, entre autres, pour être à l’origine des étalons Perac et Uhlan des Etangs (IPO 148, ISO 125) ou encore de Jumping Jack Flash (GP CSO, IPO 131). |