« Cette édition du National New Forest a été homogène à tous les niveaux », confiera Patricia Cerina, présidente de l’Association française du poney New Forest (AFPNF), à l’issue, en cette fin de journée du samedi 19 août, des remises des prix : homogène dans la qualité des poneys présentés, harmonieuse aussi, « tant l’entente entre tous les acteurs était bonne ». Les éleveurs avaient le sourire aux lèvres et les juges ont pu observer de bien jolis sujets, à l’image de Lou Mydarlin’Gascogne. Treize ans après le sacre de son père, Tidjal de Mons, champion suprême en 2010 issu de l’élevage de Paul Pélissier – éleveur de poneys depuis le début des années 80 –, les juges ont particulièrement apprécié le type et la conformation du fils. Gratifié du meilleur score, toutes classes confondues, soit 91,50, il remporte sa classe des mâles de 2 ans, ainsi que le championnat suprême devant la grande gagnante de l’édition 2022, Kastille DC ! Lou Mydarlin’Gascogne, acquis par Claire Parmentier lorsqu’il était poulain, est né dans le Gers chez Lucile Chavane – grande passionnée de la race et éleveuse doublement récompensée puisque Mozart de Gascogne, par ailleurs, est sacré champion dans la catégorie des mâles de 1 an. Claire Parmentier, la propriétaire de Lou Mydarlin’Gascogne, est vétérinaire en Loire-Atlantique, spécialisée dans les oiseaux (la sélection génétique des poules), mais aussi cavalière amatrice et fondatrice de la team GSP (les initiales de Grey – clin d’œil à son lieu-dit « Le Grison » – Sport Pony). Elle se passionne pour le poney de sport et investit dans de bons sujets.
Kastille DC répond elle aussi à tous les critères de la race. N’avait-elle pas fait coup double l’an passé en remportant le championnat suprême d’élevage et celui du Show de la Rose ? Cette très belle fille de l’européen en saut d’obstacles Emmickhoven’s Diego SL fait référence à l’élevage de Patrick Billebault (agriculteur céréalier, dirigeant de la ferme de Chaumançon à Migennes, dans l’Yonne) et de sa fille Delphine Gronfier. Tous deux caracolent aux premiers prix et peuvent s’enorgueillir de leurs excellents résultats sur cette édition. En effet, la propre sœur de Kastille, Fine de Chaumençon, s’adjuge la classe des poulinières suitées et l’épreuve d’élevage du Show de la Rose. Mais ce n’est pas tout : le fils de Fine, le sérieux Nim DC (par Jimmerdor de Florys SL, Pfs), est, lui, champion suprême des New Forest de croisement !
Une passion partagée
Le partage a aussi été l’un des maîtres mots de cette édition. Réussie donc ? « Oui, à tous points de vue ! », répond, enjouée, la présidente. « Le National s’est très bien passé, c’est même le meilleur auquel j’ai assisté. Le retour est excellent de la part des éleveurs. Tous avaient envie d’être là et étaient ravis, cela fait plaisir. Nous remarquons beaucoup de nouveaux éleveurs ou propriétaires, il y avait d’ailleurs, du fait de sa localisation cette année, pas mal de Parisiens. La qualité d’ensemble des poneys était meilleure que les années passées, même en New Forest de croisement. Pour ces derniers, les mieux notés bénéficient de très bons papiers, il n’y a pas de secret. Oui, en race pure et en croisement, la qualité des poneys était là. Ils avaient de l’allure et répondaient à de nombreux critères ; nous avons ainsi pu observer des poneys un peu plus rustiques et des poneys bien plus “sport” dans leur modèle, avec des souches différentes, même étrangères, belges, néerlandaises, britanniques… Les juges étaient également très satisfaits. Et côté organisation, il n’y a rien à redire ! », poursuit-elle. Le changement de lieu (le passage du parc équestre de Lamotte-Beuvron, qui accueillait traditionnellement la manifestation du Sologn’Pony, au site du Grand Parquet de Fontainebleau, qui organisait déjà avant 2005 les finales SHF poneys) a préalablement suscité toutes sortes d’interrogations, voire soulevé quelques craintes de part et d’autre. La présidente de l’Association française du poney New Forest le reconnaît elle-même : « J’avais un petit peu peur de ce changement, du fait que le National soit loin et des coûts plus élevés à Fontainebleau, mais finalement tout s’est très bien passé. Il y a eu une superbe dynamique. Nous avons eu le même nombre de poneys engagés, le même nombre d’éleveurs, si ce n’est mieux. Le cadre est très agréable. La carrière est beaucoup plus spacieuse, nous y sommes restés pendant tout le National et n’avons pas eu besoin de courir partout. D’un point de vue organisationnel, tout était très limpide ! La race avait une vraie place au sein de ce Sologn’Pony. Je tiens à remercier la SHF pour cet accueil et l’organisation. Il y avait pourtant de nombreux poneys et avec le National Dartmoor le timing était assez serré. Mais nous avons eu une belle symbiose, tout s’est bien combiné. »
Patricia Cerina perçoit une dynamique patente pour la race. « Des liens se sont créés entre les éleveurs. Un certain nombre investissent dans le poney New Forest, et c’est eux que nous retrouvons au National. Nous avons aussi pu constater des ventes en sortie de carrière, notamment d’étalons et de poulains, ce qui est formidable. Nous avons eu également de beaux échanges sur des juments, des étalons, des saillies. Certains éleveurs avaient abandonné la race New Forest par le passé et s’étaient tournés vers le Poney français de selle. Je constate qu’ils reviennent dans la race. Toute la machine se remet en marche. L’année prochaine, nous pouvons même prétendre, je pense, avoir plus d’engagés. »
En tout, quatre-vingts engagements ont été comptabilisé pour ce National, cinquante-sept sur les épreuves d’élevage et vingt-trois pour le Show de la Rose. Lors de la dernière assemblée générale, les éleveurs avaient soumis une demande : la venue d’un juge autre que britannique afin d’avoir une orientation différente. Ce fut le cas avec le Néerlandais Loek Mulschlegel, au regard bienveillant, qui a officié au côté de la Britannique Georgina Sabin et de Myriam Corduant. Nicky Beck a orchestré les placements lorsque les poneys et les présentateurs entraient sur le ring. En réaction face au retard pris les années passées, cela a permis de fluidifier les différentes classes et de rendre la manifestation plus coulante. La carrière du « Spring garden », utilisée pour les finales nationales d’élevage, permettait, aussi, cette organisation.
Le sacre de Lou Mydarlin’Gascogne
Dans la classe des mâles de 2 ans, le jury est tombé sous le charme de Lou Mydarlin’Gascogne. Cerise sur le gâteau pour Lucile Chavane, son éleveuse éclairée, et Claire Parmentier, sa propriétaire qui débute dans le milieu sportif et de l’élevage, leur protégé a été sacré champion suprême en fin de journée ! En réussite lors des deux dernières éditions du Sologn’Pony, Claire Parmentier a l’ambition d’acquérir de bons poneys « pour que des adolescents puissent se faire plaisir sur de belles épreuves et performer ». Elle est par ailleurs la propriétaire du jeune étalon Poney français de selle Jungle Boogie Alias, sacré champion des mâles de 2 et 3 ans et champion de France des 4 ans de Hunter cet été. Lou Mydarlin’Gascogne, donc, est un très beau mâle fils de Tidjal de Mons (Lidjal du Garon x Calin de la Lande), descendant de la souche maternelle de Paloma du Siam (mère des étalons Gold et Étoile d’Hardy, entre autres), détenteur d’un IPO 127 et frère utérin de Féerie de Mons (IPO 128). Il a pour mère Hephzibah Bournonbell (Berlioz de Gascogne x Silverlea Simply Red), issue de l’élevage d’Alain et Julian Rosset.
Gratifié d’une moyenne de 91,50, Lou Mydarlin devance le très beau palomino Listel du Gévaudan (par Emmickhoven’s Diego SL et Coraline du Gévaudan par Miriejans J R) – au modèle sport lui aussi, à l’image des qualités recherchées par son éleveuse Sylvie Bonnan (SCEA Les Hunières) – ainsi que L’Ancelot du Ménage (par Silverlea Simply Red et Arabica du Gévaudan par Glen de l’Aumont), né chez Laurie Cahierc. Ils reçoivent respectivement les moyennes de 84,50 et 83. À noter que la mère de Listel du Gévaudan, Coraline du Gévaudan (IPO 127), est une fille d’Olympie du Gévaudan (elle-même par la bonne Silverlea Martina), sacrée championne des 5 ans C et Élite à 6 ans. L’Ancelot du Ménage a également une mère issue de l’élevage du Gévaudan : Arabica, fille de Ricorée du Gévaudan (par Ivoire de Civry et la poulinière Calypso de Montain, mère entre autres de l’étalon Talisman du Gévaudan, champion de France E Élite de dressage), finaliste du CCJP de CSO à 4 ans, mère de Cappuccino, Excellent à 6 ans en CSO, et Isotop, approuvé étalon PFS à 3 ans, tous deux nés sous l’affixe de Mme Bonnan.
Du côté des hongres, un représentant dans chacune des deux classes avait fait le déplacement : le 2 ans Lancelot d’Arlange (par Sulaatik’s Versage et Rhea de Tushita par Scalp Lugny), propre frère de Kaporal d’Arlange (réserve champion suprême en 2022), noté à 80, et le 3 ans Karaoké de St Prix (par Bilbao St Prix et Babygirl de St Prix par Kilncopse Black Label), nés respectivement chez Laetitia Strasser et Agnès Petit. Notons aussi la présence du protégé de Pierre Huberty, Neptaos de l’Huban (par Hélios du Braou, réserve champion du National New Forest 2020, et Kantje’s Étoile de Mer par Orchid’s Romario II), dans la classe des foals hongres.
La classe des mâles de 1 an est mise à l’actif de Mozart de Gascogne, frère utérin du champion suprême. Ce fils d’Illoway Cheriton Fast met encore en exergue l’élevage de Lucile Chavane et sort du ring avec la moyenne de 81,50.
Kastille DC et Fine de Chaumençon se distinguent parmi les femelles
Du côté des femelles, Fine de Chaumençon (par Emmickhoven’s Diego SL et Orane du Chesnoy par Uhlan des Étangs) remporte donc le championnat des poulinières suitées avec l’excellente note de 90. La propre sœur de Kastille DC devance la jument d’Helder Luis Goncalves, Buttslawn Daisy May (par Dorridge Tom Boy et Glendale Orchid par Sturtmoor Mr Darcy), notée à 80, mère également de la championne des foals femelles Nimay du Bois Bourdin (par Blackwell Duke), gratifiée elle aussi d’une très jolie moyenne (85). Le palmarès de Buttslawn Daisy May au National de race continue de s’étoffer puisqu’elle s’était déjà emparée de cette classe il y a deux ans ainsi que du Show de la Rose, toujours dans cette catégorie, en 2021 et 2022. La jument de Pierre Huberty, Kantje’s Étoile de Mer (par Orchid’s Romario II et Kantje’s Soraya par Kantje’s Ronaldo SL), née chez les Van de Rakt au Pays-Bas, prend la troisième place. Cette sœur utérine de Kantje’s Athletico, champion des 6 ans de CCE en 2011 (IPC 147, IPD 130, IPO 126), est la mère de Neptaos de l’Huban (champion des foals hongres) et de My Shootingstar Huban (3e des femelles de 1 an).
La Grande-Bretagne, et plus particulièrement Emma Collis, l’éleveuse de la championne, ainsi que son propriétaire Éric Galicia, sont à l’honneur dans la catégorie des poulinières non suitées grâce à Doorage Pearliqueen. Confrontées à cinq autres femelles, la fille de Dorridge Top Button et Crabbswood Destiny (par Rodlease Special Lad) l’emporte face à la jument de Bérénice Coulier, Ilona des Marronniers, issue de l’élevage belge de Baudouin Decamps, et Kanara O’Mallet, née chez Norma Wallaeys et appartenant à Mélanie Long. Toutes trois ont également obtenu d’excellentes moyennes comprises entre 81 et 84,50. Ilona, la 2e, est une fille de Rivaldo H (Kantje’s Ronaldo SL x Ralph) et Chanel des Marronniers (Furzley First Aide x Kantje’s Fahran). Kanara, la 3e, provient du croisement entre le champion suprême des mâles en 2019 Heartbreaker O’Mallet (Silverlea Baywatch x Udou des Étangs) et Shana de Bedou (Maytree Sultan x Cheriton Mr.Fluff IV).
Kastille DC (par Emmickhoven’s Diego SL et Orane du Chesnoy par Uhlan des Étangs) conclut son championnat avec un beau 87,50 et remporte sa classe des femelles de 3 ans. Orane du Chesnoy est la première ponette de concours de sa propriétaire Delphine Gronfier (son père, Patrick Billebault, a basé son élevage « de Chaumançon » sur cette souche), à la tête aujourd’hui, avec son mari, d’un élevage de chevaux de course en Saône-et-Loire. Sa dauphine (score de 80) est Khloé du Midi (par Oke Dene President) née chez Charlotte Soulayres et engagée par Bérénice Coulier. Notons que la mère de Khloé du Midi, Reggae Night du Poët (par Polsbury Pinoccio et Saba par Hungerford Sandpiper), sœur utérine de Lhassa (IPC 160), Kali (IPC 138) et Impala (IPC 136), tous nés sous l’affixe « du Poët » de Nathalie Gravier, fut vice-championne des poulinières suitées en 2020. Tout comme le hongre de 3 ans Karaoké de St Prix, l’étalon Bilbao St Prix (East End Breezer x Silverlea Spotlight) et l’élevage d’Agnès Petit sont encore à l’honneur grâce, cette fois, à Karbure de St Prix, une fille de la poulinière Topaze du Buisson (par Criton de l’Ozanne), classée 3e.
Lothian de Forterre remporte la classe des femelles de 2 ans. Issue elle aussi de l’étalon Emmickhoven’s Diego SL (qualifié pour la finale des championnats d’Europe de CSO en 2014), sa mère, Silverlea Dancing Gold (Willoway Double Gold x Silverlea Flash Harry), a notamment produit Ever Gold de Kerser (IPO 125). La protégée de Justine Dionnet reçoit la moyenne de 85,50 ainsi que le prix du jury et dame le pion à une pouliche de Laetitia Strasser, Lovely Day d’Arlange (par Sulaatik’s Versage et Mockbeggar Moose par Limekiln Endeavour), notée à 81.
Megara My Hope (par Berkhof’s Business et Hendrika par Koetsiershoeve King Pever), aux origines néerlandaises, se hisse à la première place de la classe des poneys de 1 an (score de 84) pour le plus grand bonheur de Marine et Yannick Cioccolini. Le juge Loek Mulschlegel lui a aussi remis le prix du stud-book néerlandais. Sa challenger se nomme Muse du Bois Bourdin (par Rockenrol Gévaudan et Mockbeggar Moose par Limekiln Endeavour). L’affixe fait référence à la structure de Geneviève Wehrens et Helder Luis Goncalves, tandis que la ferme de Courcelles en est la propriétaire.
Show de la Rose : le titre suprême pour Upsyla Pearl
Vingt-et-un poneys se sont présentés sur le Show de la Rose, dont dix engagés dans l’épreuve en main remportée par Upsyla Pearl – propre sœur de Venus (IPC 135, IPO 120), Apy (IPO 129) et Enzo (IPO 136), tous nés sous l’affixe « Pearl » –, récente retraitée du sport (IPO 147) et par ailleurs sacrée championne suprême. Une belle victoire puisqu’elle devance Kastille DC et Megara My Hope, et un beau clin d’œil à son éleveur Bernard Vaucher ! Upsyla, engagée par Cassandra Ledrux, est une fille d’Halto Pearl et Kerria du Vent (par Willoway Good As Gold) à l’origine de plusieurs lauréats au National New Forest.
Fine de Chaumençon n’a cessé de faire forte impression : l’épreuve d’élevage, des poulinières, lui revient aussi ! Sa première dauphine est Doorage Pearliqueen et Ilona des Marronniers complète le podium.
L’épreuve montée, dotée de deux poneys appartenant à Cassandra Ledrux, est mise à l’actif de Merrie Malachie (par Merrie Madhatter et Priory Petruschka par Priory Prankster), née en Grande-Bretagne chez la famille Sibley. Cet étalon, auteur d’une saison très régulière en cycle classique 4 ans D de CSO, devance Upsyla Pearl.
Nim DC brille chez les New Forest de croisement !
Vingt poneys New Forest de croisement ont posé leurs sabots à Fontainebleau. Lors de ce National, l’affixe “DC” est doublement récompensé avec le titre de champion des foals et de champion suprême de Nim ! À l’instar de sa mère Fine de Chaumençon, plusieurs fois récompensée, ce poulain d’envergure, parmi les candidats au titre, met lui aussi à l’honneur le travail d’éleveurs de Patrick Billebault et Delphine Gronfier. Jimmerdor de Florys SL x Emmickhoven’s Diego SL : père et père de mère ont performé jusqu’aux championnats d’Europe de CSO. Nim DC reçoit la moyenne de 89,50 et bat d’un point le sérieux Newton d’Arlange (par Sulaatik’s Versage, Nf et Isabella, Oncs) de Charlène Coytte.
Du côté des foals femelles, Nacre du Bois Bourdin (par Etna de Gerboy, Co et Rowhill Sixpence, Nf par Rowhill Senator), née chez ses propriétaires Geneviève Wehrens et Helder Luis Goncalves, s’impose. La poulinière suitée de Frédérique Queva, Unique des Vrais (par Wayland Red Pepper, Nf et Iva, Oncp), née chez Jade et Fabrice Veron, remporte sa classe tout comme la protégée d’Éric Galicia, Best Of de Oopss (par Reack Castel, Pot et Tigresse II, Po par Lucky Tango, Nf), dans la catégorie des non suitées.
Majestic de l’Huban (par Hélios du Braou, Nf et Dimoi Oui Tem, Nfc par Qualiff de Quillien, Pfs) et Mayz du Bois Bourdin (par Izhar du Bois Bourdin, Pfs et Rumba de la Rhune, Pot par Nay Larhun Aspian) sont les meilleurs yearlings. Le premier met à l’honneur l’élevage de Pierre Huberty, et la seconde celui de Geneviève Wehrens et Helder Luis Goncalves. Majoro du Ker (par Rodlease Major Tom, Nf et Suzy des Rouaudières, Pfs par Rodlease Carnival Boy, Nf), né pour le compte de Breizh Équitation, reçoit l’écharpe du gagnant dans la classe des hongres.
Du côté des femelles de 2 ans, l’élevage d’Anne Rerolle fait coup double : Lovelov Me d’Arquetan (par Virago d’Arquetan, Pfs et Exquise d’Arquetan, Pfs par Iwan de Villate) s’octroie la victoire face à Lobelie II Arquetan (par Birkilds Balboa, Nf et Niobe d’Arquetan, Pfs par Gédéon des Mauvis, Nf). Chez les mâles, Loki du Bois Bourdin (par Sulaatik’s Versage, Nf et Natyve d’Othon, PO par Dafydd de l’Arche, Wd), né chez Geneviève Wehrens et Helder Luis Goncalves, était présenté pour le compte de JS Horse.
Chez les 3 ans, le mâle Kody du Bois Bourdin (par Sulaatik’s Versage, Nf et Qualinedeloverstel, Pfs par Ibn Arabi, Ar), seul dans sa catégorie (l’élevage encore de Geneviève Wehrens et Helder Luis Goncalves), et la femelle Kaskade des Chesnais (par Gatoo de Oopss, Pot et Mockbeggar Nightlight II, Nf par Farriers Rambler) s’imposent. Cette dernière, née chez Dominique Savre et appartenant à Éric Galicia, reçoit la belle note de 82,50, tout comme sa première dauphine, Kiss Me My Hope (par Sea Bird Fast, Drp et Qo Kette Auzay, Nf par Kantje’s Ronaldo SL), née chez Marine Cioccolini et propriété de Lisa Oriol.
Résultats complets et photos à retrouver sur le site internet de l’AFPNF.